Avril 2012 Croatie
C'est parti, après la reprise de contact en octobre 2011 : un convoyage de Gruissan jusqu'en Croatie - Kremik au Nord de Split, avec Christophe comme skipper et Jean-Bernard l'autre équipier. Départ le 9 avril arrivée à Kremik le 19 avril : 1253 miles (2320 km) à une
vitesse moyenne de 6,7 noeuds.
Il est beau le bateau !
Christophe et Jean-Bernard aussi !
Et eux donc !!
A quoi pense le marin lorsque un pigeon voyageur vient se reposer sur le bateau ? Mais oui !!
Finalement, il est reparti après un jour de repos et ses repas de biscuits.Non, là ce n'est pas pour le pigeon
Nous sommes passé entre la Corse et la Sardaigne dans des conditions assez musclées que nous avons eues jusqu'en Sicile.
Oups, pas de souci, la capuche est sèche !
Milazzo en Sicile
Nous y avons fait escale pour faire le plein de gaz-oil. Mais pas de possibilité d'accéder à la pompe avec nos 2.40m de tirant d'eau. Du coup ce fut les bidons et le taxi jusqu'à la station la plus proche. Le chauffeur téléphone en conduisant, tout en insultant ses congénères et en rédigeant la facture ! Respect. Nous sommes repartis et avons passé le détroit de Messine de nuit. Je ne mets pas de photo, car j'ai subi suffisamment de sarcasmes à leur sujet.
En attendant le taxi, on se bidonne
Nous sommes arrivés en Croatie à Komiza, à l'est de la petite île de Vis. Nous y avons fait les premières formalités d'entrée dans le pays. Sur le chemin du bureau de la police, Christophe a posé la pochette contenant tous les documents (papiers du bateau, passeports...) sur la digue pour admirer le paysage. Un coup de vent... et bien évidemment la pochette à l'eau, de plus poussée vers le large par le vent... Vite, chercher une annexe sur les bateaux voisins, mais la personne qui en a prposé une a pris beaucoup de temps pour la mettre à l'eau. Finalement un voilier qui sortait a compris ce qu'il se passait et a récupéré la pochette.
Arrivée à Split
Dans Split
Split de nuit (il fallait quand même que j'en place une)
Arrivée à la marina de Kremik
Vu au restau de la marina. Si ça soigne pas, ça peut rassurer ? Enfin pas trop en ce qui me concerne.
Spéciale dédicace à Pascal qui voulait une photo de moi à la barre :
pour barrer, il y a le pilote automatique qui fait ça très bien, alors de ce temps... on se tient au bar !
À PrimostenÀ Primosten
Voici le tracé de la navigation. On peut apercevoir une pointe à 17 noeuds si on zoome bien.
Survol des Alpes au retour